Enfin, s’il est vrai ce qu’on dit,
L’avarice eut tant de crédit
Sur ce ministre insatiable,
Qu’afin d’acquérir plus de bien,
S’il eût donné son âme au diable
Il n’aurait jamais donné rien1 .
Nouveau Siècle, t. I, p.420 - Lyon BM, MS 1445, f°10r - Tableau de la vie de Mazarin, p.217