Sans titre
Si la tempête te menace,
Gaston, tu auras très grand tort
De ne vouloir surgir au port
De ce fameux Havre de Grâce
Où le siècle d’or et d’argent,
A la faveur d’un hyménée,
Te peux rendre plus que content
En dépit de la destinée,
Et sont de puissants aiguillons
Qu’une somme de cent millions,
Quelle agréable pénitence
En fléchissant sous cette loi
C’est à un second fils de France
D’avoir en un moment le partage d’un roi1 .
- 1Voir *0185
Arsenal 3128, f°36v