Ci-gît un chevalier qui sans cesse courut,
Qui sur les grands chemins naquit, vécut, mourut,
Pour prouver ce qu’a dit le sage,
Que notre vie est un voyage1 .
La Harpe, Correspondance littéraire, t.II, p.280 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.II, p.94