Numéro | Premier vers | Dernier vers | Références |
Année![]() |
Auteur |
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0896 | Ci-gît un philosophe habile | Le mène au loin pour l’égarer. |
F.Fr.10475, f°5r |
Inconnue | |
0904 | Ci-gît qui mangea Brouage | Mais la vérole le mangea |
Arsenal 3128, f°215r |
Inconnue | |
0911 | Ci-gît le doguin Grichou | ’est peu de chose que le sage ! |
Lyon BM, MS 1671, f°226r |
Inconnue | |
0914 | Il eut assez d’esprit pour désirer paraître. | Mais enfin il mourut son maître. |
Arsenal 3128, f°284r |
Inconnue | Beauchamps |
0191 | O terre, sois-lui légère, | Elle a si peu pesé sur toi. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.419 |
Inconnue | Inconnu |
0952 | Sous ces tisons, sans titres, sans paraphes, | Dites tout court : le grand Saurin est mort. |
1732/1735, III,152 |
Inconnue | |
0958 | Ci-gît dans une paix profonde | Fit son paradis en ce monde. |
La Harpe, Correspondance littéraire, t.III, p.306 - F.Fr.15231, f°195r - La Place, Recueil d’épitaphes, t.II, p.161 |
Inconnue | |
0170 | Ci-gît, dessous ce marbre blanc, | C’est pour ne pas donner d’étrennes. |
Les délassements du sage, ou Nouveau choix des meilleures épigrammes qui ont paru dans le XVIIIe siècle, p.231 - Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.419 |
Inconnue | Inconnu |
0976 | J’ai vécu sans souci, je suis mort sans regret, | Je le laisse à juger à Messieurs de Sorbonne. |
Nouveau recueil des épigrammatistes, II, 147 |
Inconnue | |
0977 | Ci-gît un mortel distingué | Maquereau, mais homme de bien. |
Nouvelles de la Cour et de la Ville, p.106-107 |
Inconnue | |
0877 | Guillaume ne fut bon à rien ; | Comme s’il n’était point du tout. |
Nouveau recueil des épigrammatistes français,, t.I, p.121 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.45 - Recueil des plus belles épigrammes des poètes français depuis Marot jusqu’à présent (1698), t.I, p.172 |
Inconnue | Gombaud |
1129 | Ci-gît le bon Monsieur de Coudres, | Ce ne fut pas comme inventeur. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.420 |
Inconnue | Inconnu |
1131 | Toi qui nous as si souvent amusés, | Maintenant tu nous fais pleurer. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.425 |
inconnue | Inconnu |
1132 | Tu me vois sur le rivage, | D’autres arrivaient au port. |
Nouveau recueil des Èpigrammatistes français, t.I, p.274 |
inconnue | Pellisson |
1133 | Sous ce tombeau gîst Madame de Foix, | Cy gist un rien, là où tout triompha. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.14 |
inconnue | Marot |
1134 | Ne plaignons point sa jeunesse | Que pour qui meurt sans vertus. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.17 |
inconnue | Gresset |
1135 | Léandre est descendu sur les sombres rivages. | Ou ses livres devraient lui servir de bûcher. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.18 |
Inconnue | Pellegrin |
1136 | Celui qui gît sous cette pierre | Il lui manquait de voir les cieux. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.18 |
Inconnue | Pelletier |
1137 | – Que tient enclos ce marbre que je vois ? | – Il y est tout, car il était tout cœur. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.25 |
Inconnue | Mellin de Saint-Gelais |
1138 | Ci-gît qui fuyait le repos ; | La Taille aussi l’a fait mourir. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.33 |
Inconnue |