Numéro | Premier vers | Dernier vers | Références | Année |
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0196 | Ici repose, livré aux vers, | Revue et corrigée par l’auteur. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.413 |
1790 | Franklin, Benjamin |
0988 | Figure du monde qui passe, qui passe en un moment, | Trouve malaisément le temps de bien mourir. |
Arsenal 3128, f°104r - La Place, Recueil d’épitaphes, t.III, p.390 |
1691 | Freubet : Perrault (La place) |
0507 | Je ne sais par quel secours | Quelque exception dilatoire. |
Nouveau recueil des épigrammatistes français, t.I, p.238 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.339 |
Inconnue | Furetière |
1193 | Princes, arbitres de la terre, | Qu’il n’en fit faire à son cheval. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.338 |
323 av. J.-C. | Furetière |
1205 | Ici dessous repose en paix | Qu’il puisse égaler son caquet. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.II, p.81 - Nouveau recueil des épigrammatistes français, t.I, p.237 - Recueil des plus belles épigrammes des poètes français depuis Marot jusqu’à présent (1698), t.I, p.106 |
Inconnue | Furetière |
0810 | L’amour s’en va, la feuille tombe | Chanter quand l’arbre sera vert. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.415 |
1872 | Gautier, Théophile |
0718 | Colas est mort de maladie | Colas vivait, Colas est mort. |
Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant, p.180 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.43 -Recueil des plus belles épigrammes des poètes français depuis Marot jusqu’à présent (1698), t.I, p.172 |
Inconnue | Gombaud |
0732 | L’Apollon de nos jours, Malherbe ici repose | Il est mort pauvre, et moi je vis comme il est mort. |
Sottisier, p.38 - Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant - La Place, Recueil d’épitaphes, t.II, p.253
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1628 | Gombaud |
0877 | Guillaume ne fut bon à rien ; | Comme s’il n’était point du tout. |
Nouveau recueil des épigrammatistes français,, t.I, p.121 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.45 - Recueil des plus belles épigrammes des poètes français depuis Marot jusqu’à présent (1698), t.I, p.172 |
Inconnue | Gombaud |
1142 | Peuples, excusez le trépas | Il ne serait mort de longtemps. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.44 |
Inconnue | Gombauld |
1186 | Ci-gît dont le zèle feint | A force d’être hypocrite. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.285 |
Inconnue | Gombauld |
1241 | Ci-gît qui fut un franc glouton, | Son nez en avait plus de trente. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.III, p.67 |
Inconnue | Gombauld |
0861 | Les grands chargent leur sépulture | Et ma mort l’est encore plus. |
Nouveau recueil des épigrammatistes français, t.I p.161 - Recueil des plus belles épigrammes des poètes français depuis Marot jusqu’à présent (1698), t.I, p.170
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Inconnue | Gomberville |
1180 | La mort m’a couché sur sa liste : | Descend à son tour |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.232 |
Inconnue | Grandval |
1427 | Sous ce foutu tombeau gît l’impudique cendre | Ou bien, à tout le moins, pisser au monument. |
Stromates, I, 400 |
1719 | Grécourt ? Piron ? |
0984 | Laissons au vulgaire des mortels | Quand elle est, nous ne sommes plus. |
CSPL, IV, 11 - La Place, Recueil d’épitaphes, t.III, p.35
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1777 | Grécourt, Jean-Baptiste de |
1134 | Ne plaignons point sa jeunesse | Que pour qui meurt sans vertus. |
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.17 |
inconnue | Gresset |
0434 | Ci-gît qui follement se hâta d’expirer | Il aurait regret à la vie. |
Nouveau recueil des épigrammatistes français, t.II, p.115 |
Inconnue | Inconnu |
0694 | Elle est venue. | Elle a passé. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.417 |
1900 | Inconnu |
0191 | O terre, sois-lui légère, | Elle a si peu pesé sur toi. |
Claude Gagnière, Pour tout l’or des mots (Robert Laffont, 1996), p.419 |
Inconnue | Inconnu |