D’un guerrier, mort sur la brèche d’un château qu’il défendait contre des rebelles.
D’un guerrier, mort sur la brèche d’un château
qu’il défendait contre des rebelles.
Comme je m’efforçais par mon langage induire
Le cœur de mes soldats à mourir pour le Roi,
Moi-même je suis mort, afin qu’on vît en moi
Que je savais bien faire autant comme bien dire.
La Place, Recueil d’épitaphes, t.I, p.383